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LE MOULIN ROUGE
fête ses 130 ans !
Depuis son ouverture, le 6 octobre 1889, le Moulin Rouge a été,
est et sera toujours le théâtre des plus belles soirées parisiennes dont
la renommée et le prestige dépassent les frontières !
Un rayonnement international, une histoire riche et passionnante et une qualité de spectacle inégalée ont fait de lui le plus célèbre cabaret du monde. Dès sa création, le Moulin Rouge a vu se produire sur sa scène mythique des artistes tous plus talentueux les uns que les autres.
A ses débuts, la Goulue, muse de Toulouse-Lautrec qui faisait tant parler d’elle avec son acolyte Valentin-le-Désossé, révolutionnent à eux deux le fameux et l’unique French Cancan. La pétillante Mistinguett va, elle aussi, inscrire un nouveau genre : des revues toujours plus grandes et plus spectaculaires qui feront du Moulin Rouge le berceau du Music-Hall. Sans oublier tous ces artistes de renoms qui se sont produits sur la scène du Moulin Rouge tels que Jean Gabin, Edith Piaf, Yves Montand, Line Renaud, Dean Martin, Frank Sinatra, Charles Trenet, Charles Aznavour, Lisa Minnelli, Elton John, Ray Charles ou encore Ella Fiztgerald. La belle histoire du cabaret, source d’inspirations de nombreux artistes, a souvent été mise en lumière par le 7eme art, avec notamment le film « French Cancan » réalisé en 1954 par Jean Renoir, le film « Moulin Rouge » de John Huston en 1952 ou encore le mythique film « Moulin Rouge » de Baz Luhrmann sorti en 2001, et de nombreuses oeuvres littéraires, artistiques, peintures, pièces de théâtre, comédie musicale… Traversant les époques, deux guerres et même un incendie ravageur en 1915, le Moulin Rouge évolue avec son temps et deviendra dans les années 40, et pour quelques années, le plus grand cinéma d’Europe. C’est en 1051, date du renouveau et de sa nouvelle salle au décor Belle Epoque réalisée par Henri Mahé, que le Moulin Rouge remet sur scène les grandes revues de Music-Hall pour le plus grand plaisir de ses spectacteurs. La première revue « Frou-Frou » en 1963 a été un tel succès que la décision fut prise de commencer tous les titres des revues par un » F ». S’en suivra un succès sans faille ! Chaque soir, les spectacteurs sont invités à plonger dans l’ambiance chaleureuse de sa salle myhthique et à passer un moment exceptionnel, hors du temps, entourés des petites lampes rouges qui feutrent l’atmosphère, des fresques, des affiches d’origine et des célèbvres peintures de Toulouse-Lautrec.
Après 130 ans d’une vie de riche et sensationnelle, le Moulin Rouge continue de faire rêver avec revue actuelle « Féerie » : 2 représentations par soir, 60 artistes sur scène, des décors somptueux réalisé à la main par des artisans d’exception, des musiques originales, des heures d’émerveillement mêlant tableaux dansés et numéros surprise, sans oublier la danse la plus emblématique du Moulin Rouge, le French Cancan !
C’est un monde de rêve qui s’invente sur scène tous les soirs avec plus de 1000 costumes de plumes, strass et paillettes réalisé par nos Maisons d’arts. Le Moulin Rouge tient tout particulièrement à préserver le savoir-faire unique de la fabricaton des costumes de spectacle et de Music-Hall. Récemment, le Moulin Rouge a rahceté polusieurs de ces ateliers, le Maison Février pour le splumes, la Maison Clairvoy pour les chaussures et l’Atelier Valentin pour la broderie. « féerie », la revie de tous les recors a été applaudie depuis sa création par plus de 10 millions de spectacteurs venus du monde entier ! Après les paillettes dans les yeux, les paillettes dans l’assiette ! Au fil du temps, le Moulin Rouge se veut toujours plus qualitatif et ravit aujourd’hui les gourmands avec l’arrivée du chef David Le Quellec qui a permis au Moulin Rouge d’être le premier cabaret à figurer dans le guide gastronbomique du Gault & Millau.
Le Moulin Rouge, véritable symbôle français, contionuera à rayonner dans le monde entier et à figurer comme un incontournable à voir et à revoir à Paris. Au pied de la butte Montmartre, les ailes du Moulin tournent depuis 130 ans et continueront de tourner encore et encore tout en continuant de nous rêver.
MOULIN ROUGE
85 Boulevard de Clichy – Paris 18e
+33 (0)1 53 09 82 82
www.moulin-rouge.com
TOP 5 DES RESTOS
Coups de coeur
LE ANDY WALHOO
Loin des yeux, loin du coeur déco orientale.
Du nouveau chez Andy Wallon ! En effet, les habitués seront surpris : le bar a bénéficié d’un relooking extrême et assez appréciable avec notamment sa déco style louange, ses fauteuils clubs, une lumière tamisée, sa jolie terrasse… pour un petit effet bar d’hôtel chic des plus sympathiques. La nouvelle version du Andy Walhoo est aussi un endroit où nous aimons siroter un cocktail en écoutant une sélection musicale classiques. On y trouve une carte très exhaustive de cinquante whiskies et une liste intéressante d’excellents cocktails à déguster en extérieur, loin de l’agitation parisienne. De quoi passer un moment ultra-agréable !
LE ANDY WALHOO
69, rue des Gravilliers – Paris 3e
CAFE PINSON
Une cuisine bien-être et 100% bio.
Nous sommes nombreux à faire une réaction au gluten, donc pas le choix : il faut se tourner vers la nourriture végétarienne. Pas de souci ! Une adresse à retenir pour les végans : le Café Pinson. Vous y dégusterez des jus « minute », des céréales complètes et des plats faits « maison » sans gluten, bien calés dans les banquettes grises ou sur ses chaises vertes. Avec ses murs en pierre de taille, sa décoration neutre tendance et sa luminosité, le Café Pinson est un cadre sympa pour un déjeuner entre copines. C’est un endroit où il fait bon déguster des tartes et des madeleines. Pour les fans des brunchs, optez pour y aller le dimanche. En ce qui concerne la carte, réservez un budget entre 17 € pour la formule classique et 25 € pour la formule brunch. Mention spéciale pour les cocktails, les entrées et desserts très originaux !
CAFE PINSON
6, rue des Forez – Paris 3e
LE CANDELARIA
Un bar surprise surprise !
Nous sommes nombreux à faire une réaction au gluten, donc pas le choix : il faut se tourner vers la nourriture végétarienne. Pas de souci ! Une adresse à retenir pour les végans : le Café Pinson. Vous y dégusterez des jus « minute », des céréales complètes et des plats faits « maison » sans gluten, bien calés dans les banquettes grises ou sur ses chaises vertes. Avec ses murs en pierre de taille, sa décoration neutre tendance et sa luminosité, le Café Pinson est un cadre sympa pour un déjeuner entre copines. C’est un endroit où il fait bon déguster des tartes et des madeleines. Pour les fans des brunchs, optez pour y aller le dimanche. En ce qui concerne la carte, réservez un budget entre 17 € pour la formule classique et 25 € pour la formule brunch. Mention spéciale pour les cocktails, les entrées et desserts très originaux !
CAFE PINSON
6, rue des Forez – Paris 3e
CAFE BEAUBOURG
Ouf ! Enfin assis après une exposition d’art moderne !
Situé devant le centre Georges Pompidou, avec sa devanture blanche et sa grande terrasse, il est difficile à louper ! détendez-vous autour d’un déjeuner dans un intérieur rouge so chic et tendance. On craque pour ses plats typiques de la brasserie française et son côté world food pour satisfaire le plus grand nombre. Au menu, choisissez son wok de gambas et ses profiteroles et autres délices ! Le café est ouvert tous les jours jusqu’à minuit.
CAFE BEAUBOURG
100, rue Saint-Marting – Paris 4e
LA FUSEE
Le kitsch toujours à la mode.
Niché en plein quartier du 3e arrondissement de Paris, ce bar vous met à la l’abri de l’agitation. Découvrez le bar La Fusée pour une ambiance décontractée style guinguette, à la déco rustique avec ses guirlandes colorées et ses anciennes affiches le kitsch absolu !
La soirée ne s’arrette pas là, elle se prolonge quotidiennement jusqu’à 2h du matin.
LA FUSEE
168, rue Saint-Marting – Paris 3e
Bon appétit !
LA DANSE DANS LA PEAU
Fréderic Lazzarelli
Pour Frédéric Lazzarelli, la danse c’est toute sa vie ! En plus d’être un danseur à la carrière Internationale, il se consacrre corps et âme à la transmission de cet art incomparable. Retour sur son parcours !
Enfant, lorsqu’il faisait des spectacles pour s’amuser avec sa sœur et ses frères, Fréderic Lazzarelli n’avait jamais pensé devenir danseur professionnel et encore moins professeur !
Et pourtant, l’admiration pour son frère ainé l’a conduit à Paris comme lui, pour démarrer une carrière de danseur classique. Ses premiers pas de danse classique, il les faits réellement à l’âge de 13 ans.
C’est le début de l’épopée parisienne auprès du grand maitre de ballet classique Yves Casati au centre de Danse du Marais. Artiste avant tout, la danse n’est pas son seul centre d’intérêt et le jeune apprenti, fou de théâtre cours les classes de danse et du Cours Florent. Théâtre et danse, son cœur balançait, mais l’amour de la danse l’a emporté !
Et pourtant, ce n’était pas chose gagnée ! Peu d’intérêt et des paroles déstabilisantes répétitives : « Tu es nul, tu ne seras jamais danseur »,de la part du grand maître n’ont jamais atteint le jeune Fréderic. « Beaucoup d’anciens grands maîtres tentaient de déstabiliser leurs élèves et de tester leur détermination. C’était sa façon de me pousser dans mes retranchements » raconte Fréderic en riant. Et l’adolescent ne lâcha pas l’affaire ! Face à une telle pugnacité de la part du jeune homme, Casati s’est penché sur son cas et l’a formé au métier de danseur classique. « Il m’a tout appris, je lui dois tout » explique Fréderic. Après de nombreuses années de travail, de persévérance, ce passionné a démarré sa carrière de danseur.
Sa carrière de danseur
L’enseignement d’Yves Casati terminé, Fréderic a parcouru le globe. Son parcours professionnel l’a amené partout. Pendant dix ans, il dansa pour l’Opéra de Karlshrue, en Allemagne avec Germinal Casado, ancien premier danseur de Béjart. Puis, le Ballet du Portugal lui fit les yeux doux, il y resta pendant un an et demi avant de s’envoler au Mexique et de rejoindre le Ballet National de Mexico. Comme pour de nombreux danseurs, la carrière est de courte durée et laisse place à la chorégraphie et à l’enseignement. Après cette jolie carrière internationale, celui qui fut l’élève revint à l’école !
La transmission de la danse : un amour véritable
D’abord assistant, puis remplaçant de celui qu’il appelle encore le grand maître, Fréderic prit la place d’Yves Casati dans le mythique studio Beethoven du Centre de Danse du Marais. « Je l’ai remplacé plusieurs fois, puis je suis devenu professeur grâce à lui. Il m’a passé la main. Il a été mon pygmalion. Nous avons travaillé ensemble de longues années puis il m’a passé son école » dit-il. Sa vocation de professeur de danse classique est née ! Clefs du royaume en main, Fréderic passe plus de temps que n’importe quel autre professeur dans ce studio. Devenu enseignant assez tôt, il avait une trentaine d’années quand il a lui aussi à son tour transmis son savoir artistique à se élèves. Passionné par la danse et désormais professeur, il enseigne 7 jours sur 7 au Centre de danse du Marais depuis 30 ans. La transmission a pris toute la place dans sa vie. Il n’a jamais raté un cours. « J’aime vraiment la danse, j’ai accordé toute ma vie à son enseignement. C’est une vraie vocation. J’aime transmettre et savoir que mes élèves viennent à mes cours avec plaisir. Je ne suis pas un professeur qui casse ses élèves » explique Fréderic. Il a également enseigné la danse classique à l’École internationale du Mime Marcel Marceau. Débutants, intermédiaires, avancés, Fréderic enseigne à ceux qui souhaitent apprendre et exprimer leurs émotions au travers de mouvements
et de pas rythmés au son des pianistes-salariés de Fréderic. Un regard bienveillant, des rires et un enseignement sans pression, telle est l’ambiance des cours de Fréderic au centre de danse du Marais !
Son professionnalisme et son amour de la transmission amène des professionnels à se joindre aux habitués des cours. Un regard différent ? Absolument aucun ! « Je n’ai jamais et je ne ferai pas de différence entre les danseurs professionnels et les habitués qui suivent mes cours » explique Fréderic. Il enseigne de la même façon à tout le monde. La danse a toujours été pour lui un moyen de s’évader et il ne s’est jamais dit qu’il travaille. Danseur, professeur et chorégraphe, Fréderic a créé des spectacles pour Nada Kano à Berouth, puis avec sa consœur Catherine Cordier, professeur de danse contemporaine au Centre de danse du Marais, ils ont monté des spectacles humoristiques.
Professeur avant tout, Frédéric Lazzarelli enseignera dans son studio Beethoven encore et toujours !